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 LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?...

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tanka
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MessageSujet: Re: LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?...   LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 EmptyMer 9 Mai 2012 - 22:47

Essais de perfectionnement prévus

Les essais d'un système visant à augmenter la précision du système de navigation russe par satellite GLONASS à 0,5m sur le territoire russe débuteront en juin, a annoncé mardi à Moscou Vladimir Popovkine, directeur de l'Agence Fédérale Spatiale Russe Roskosmos.

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Lanceu21
Le lanceur Proton-M sur son pas de tir.
© Oleg Urusov - RIA Novosti
"En juin, nous commencerons des essais", a indiqué M.Popovkine lors d'une réunion consacrée à l'utilisation du système GLONASS par les entités de la Fédération de Russie et présidée par le vice-premier ministre Vladislav Sourkov. Pour le moment, seule la ville de Moscou et sa région peuvent recevoir des signaux d'une telle précision, selon le responsable.

En février, le premier ministre russe Vladimir Poutine a annoncé que le système GLONASS était déjà presque aussi performant que son équivalent américain GPS. "Nous avons une résolution de 2,8m et le GPS de 1,8m ", a-t-il noté.

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Lanceu22
© RIA Novosti
Créé en 1993, le système de navigation GLONASS (GLObal NAvigation Satellite System, l'équivalent du GPS américain) est destiné à déterminer les coordonnées des objets sur terre, sur mer, dans l'air et dans l'espace avec une marge d'erreur d'un mètre. Il couvre l'ensemble du globe depuis décembre 2011. L'accès aux signaux civils du système GLONASS est gratuit et illimité pour les utilisateurs russes et étrangers.

MOSCOU, RIA Novosti, du 17 avril 2012
Source RIANOVOSTI Sciences: http://fr.rian.ru/science/20120417/194346272.html
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MessageSujet: Re: LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?...   LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 EmptyMer 9 Mai 2012 - 23:01

Le satellite EnviSat est peut-être récupérable !…

EnviSat est toujours en perdition mais des satellites l'ont approché, et même photographié tout comme des radars depuis le sol. Répondant à Futura-Sciences, Simonetta Cheli, de l'Esa, se veut rassurante. « il reste un espoir de reprendre le contrôle du satellite environnemental. »

Plus d’une semaine après la perte de contrôle du satellite EnviSat, l’Agence Spatiale Européenne n’arrive toujours pas à s’expliquer les raisons de cette panne. Une commission d’enquête a été mise en place avec l’industriel Astrium, qui a construit le satellite, pour en déterminer les causes et voir comment il serait possible de récupérer son contrôle. Malgré l’absence d’explication sur l’origine de la panne, « l’Agence Spatiale Européenne reste optimiste quant à ses chances de reprendre le contrôle d’EnviSat », nous confie Simonetta Cheli, chef de cabinet du directeur des programmes d’observation de la Terre à l'Esa. « Les images d’EnviSat, acquises par SPOT-5, passé 90km au-dessus, et par Pléiades 1A, à 120km en dessous, montrent que le satellite est en un seul morceau, excluant toute casse mécanique. » Une conclusion confortée par d’autres observations, réalisées depuis le sol à l’aide de radars, qui indiquent également qu’EnviSat tourne autour de la Terre sur une orbite stable. « Le satellite n’a pas changé d’altitude et n’est pas passé en mode de sécurité, ce qui aurait consisté pour lui à orienter ses panneaux solaires vers le Soleil. »

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Envisa14
Malgré sa panne, l'imposant EnviSat est resté sur son orbite polaire.
© Esa
Enfin, ce n’est pas la première fois que l’Esa perd le contrôle d’un de ses satellites. « Il y a quelque temps, GOCE, un satellite d’étude de la gravité terrestre, a été perdu pendant plus d’un mois avant que nous en reprenions le contrôle en abaissant sa température. »

Pour expliquer cette panne, les responsables de la mission ont émis deux hypothèses, « celle d’une perte subite de la puissance de la plateforme pour une raison inconnue, et celle d'un mauvais fonctionnement du rechargement des batteries, lesquelles prennent le relais des panneaux solaires lorsque le satellite se trouve dans l’ombre de la Terre. Quant au risque de collision qu’EnviSat peut représenter pour les autres satellites, en raison de la perte de toute capacité de pilotage, ou si lui-même se trouvait sous la menace d’un débris spatial, il est minime », explique Simonetta Cheli. « Pour ce que l’on sait de la trajectoire des satellites en place et des débris qui évoluent sur les orbites proches de celle d’EnviSat, à proprement parler il n’y a pas de risque de cette nature identifié pour ces prochaines années. » Cela dit, « avant cette panne, la question de sa désorbitation a été abordée au sein de l’Agence Spatiale Européenne. »

Assurer la continuité des données
Pour les utilisateurs d’EnviSat, si cette interruption de service devait perdurer, elle pourrait devenir problématique. En effet, de nombreux services de secours, de surveillance et de prévision dépendent fortement des données fournies par EnviSat. Dans certains cas, comme les catastrophes naturelles, l’absence des données fournies par EnviSat pourrait poser problème à certains services GMES (Global Monitoring for Environment and Security). C'est pourquoi l’Agence Spatiale Européenne s’est mise en relation avec celle du Canada pour étudier la possibilité d’utiliser les données radar des satellites RadarSat. Quant aux services d’altimétrie, certains besoins pourraient être couverts par l'altimètre radar de CryoSat, son satellite d'observation des glaces.

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Envisa15
Image radar du satellite EnviSat réalisée quelques jours après la perte de son contrôle. Elle montre un satellite
sans dommage structurel ce qui rend confiant l'Esa dans sa capacité à le récupérer. L'image a été acquise
depuis l'Institut allemand Fraunhofer for High Frequency Physics and Radar Techniques.
© Fraunhofer/FHR
Reste que cette panne montre l’urgence à lancer les satellites de la famille Sentinel destinés à remplacer EnviSat. Le premier d’entre eux, Sentinel-1 doit être lancé vers la mi-2013 mais l’Esa pourrait être contrainte de reporter son lancement pour des raisons financières, la Commission Européenne tardant à débloquer les fonds nécessaires. Telle qu’elle était planifiée avant la panne d’EnviSat, la mission du satellite devrait s’achever courant 2014 après quelques mois de travail en tandem avec Sentinel-1 pour calibrer les instruments du successeur.

Par Rémy Decourt, Futura-Sciences, du 17 avril 2012
Source Actualité Futura-Sciences: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/le-satellite-envisat-est-peut-etre-recuperable_38164/
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MessageSujet: Re: LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?...   LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 EmptyMar 15 Mai 2012 - 23:23

L’enquête se poursuit après la perte de contact avec EnviSat

Des observations optiques, radar et laser du satellite EnviSat indiquent que celui-ci se trouve toujours sur une orbite stable. Les efforts pour rétablir le contact avec le satellite se sont poursuivis depuis le 8 avril, date à laquelle il a soudainement cessé de communiquer avec la Terre.

Afin de déterminer si EnviSat s’est placé dans un mode de sauvegarde automatique - ce qui fournirait un point de départ pour une récupération - l’équipe de sauvetage travaille sur toutes les sources d’information disponibles. Un soutien appréciable a été apporté par plusieurs partenaires européens et internationaux. La nouvelle mission française d’observation de la Terre, Pléiades, fournit habituellement de l’imagerie à très haute résolution, mais il a également permis d’observer EnviSat pour éclaircir le mystère de la situation du satellite. Le 15 avril, le CNES, l’Agence spatiale française, a manœuvré son satellite Pléiades pour qu’il puisse photographier EnviSat lorsqu’il est passé à environ 100km de lui. Cet exploit a été rendu possible grâce à l’extrême agilité du satellite Pléiades.

Les experts et les ingénieurs de vol utilisent ces images pour déterminer l’orientation du panneau solaire, source d’énergie du satellite. Si le panneau est orienté de manière à assurer une exposition suffisante au Soleil, il génère alors suffisamment d’énergie pour placer le satellite en mode de sauvegarde automatique, ce qui pourrait permettre de restaurer les communications avec la Terre.

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Pleiad10
Le 15 avril, le CNES, l’Agence spatiale française, a manœuvré son satellite d’observation de la Terre Pléiades pour prendre cette image d’EnviSat.
A environ 100km de distance, le corps du satellite, son panneau solaire et son antenne radar sont clairement visibles.
Credits: CNES
« Nous sommes vraiment très reconnaissants au CNES de nous offrir la capacité d’obtenir des images d’EnviSat grâce à leurs satellites Pléiades et SPOT », a déclaré Volker Liebig, directeur des programmes d’observation de la Terre de l’ESA. « Des observations additionnelles sont réalisées tout autour du monde et illustrent combien la communauté spatiale internationale a fait bloc pour suivre ce vétéran de l’observation de la Terre. »

L’Institut Fraunhofer de physique des hautes fréquences et des technologies radar à Wachtberg en Allemagne fournit également des images pour aider à déterminer l’orientation d’EnviSat. Les images du radar terrestre de poursuite et d’imagerie TIRA (Tracking and Imaging RAdar) montrent le corps du satellite, son panneau solaire et son antenne radar. « Ces images exceptionnelles vont nous permettre d’analyser l’orientation d’EnviSat, qui nous indiquera s’il est possible de rétablir le contact avec le satellite », explique Manfred Warhaut, directeur du département des opérations de missions à l’ESA.

Les informations sur l’orbite d’EnviSat sont fournies par le JSOC (Joint Space Operations Center) américain. De plus, de nombreuses stations sol de mesure par laser fournissent des informations pour vérifier la stabilité de l’orbite du satellite. La soudaine interruption des services EnviSat a causé une rupture dans l’approvisionnement en mesures de la communauté internationale des utilisateurs d’observation de la Terre, très dépendante de la continuité des données. Le lancement de la série suivante de satellites Sentinel en cours de développement dans le cadre du programme GMES (Global Monitoring for Environment and Security) est devenu encore plus urgent. Les satellites Sentinel vont fournir les données nécessaires à l’amélioration de la gestion de l’environnement, ainsi qu’à la compréhension et la prévention des effets du changement climatique pour assurer la sécurité civile.

Du 20 avril 2012
Source ESA: http://www.esa.int/esaCP/SEMX8QKWZ0H_France_0.html
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MessageSujet: Re: LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?...   LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 EmptyMar 29 Mai 2012 - 23:46

CarbonSat, un satellite pour étudier les gaz à effet de serre

Si l’effet de serre est un phénomène naturel essentiel à la vie humaine, les climatologues le mettent en cause dans le réchauffement climatique en raison d’une modification de la concentration de ses gaz. Pour mieux faire la part des choses entre l’activité humaine et la variabilité naturelle du climat, l’Esa a confié à Astrium un contrat pour la conception du satellite CarbonSat.

Pour sa huitième mission d’exploration de la Terre, l’Agence Spatiale Européenne a mis en compétition les missions CarbonSat, d’étude des Gaz à Effet de Serre (GES) et Florescence Explorer dédiée au suivi de l’état de l’activité de la photosynthèse à l’échelle de la Planète. En 2013, l’Esa prendra une décision sur l’avenir de ces deux missions.

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Sciama10
Cartes Sciamachy, instrument précurseur de CarbonSat, de la distribution du dioxyde de carbone pour l'année 2011.
Sur la carte principale, évolution en ppm du rapport de mélange moyenné - de dioxyde de carbone CO2,
dans une colonne verticale - atmosphère - sur plusieurs années.
© IUP/Université de Bremen
Au début du mois, elle a confié à Astrium un contrat pour la conception du satellite CarbonSat qui doit permettre de définir ce à quoi il pourrait ressembler. Concrètement, Astrium doit approfondir les différentes composantes du satellite dont son instrument qui doit succéder au spectromètre Sciamachy (Scanning Imaging Absorption Spectrometer for Atmosphere Chartography) d'EnviSat, utilisé pour le pistage spatial des gaz à effet de serre. CarbonSat est destiné à mesurer, avec une précision sans précédent, la concentration et la répartition, à l’échelle planétaire, des deux principaux gaz à effet de serre. Le dioxyde de carbone (CO2) et le méthane (CH4).

Mieux comprendre les GES liés à l'activité humaine
Comme les autres gaz à effet de serre, le carbone et le méthane font partie d’une des 45 variables climatiques essentielles. Ces paramètres du climat ont été identifiés dans le cadre du Système Mndial d’Observation du Climat mis en place par l’Organisation des Nations Unies (ONU) et pour lesquels les Agences spatiales et les institutions politiques se sont engagées à mettre en place des programmes d’observations spatiaux et terrestres. Aujourd’hui, la théorie veut que les activités humaines causent un réchauffement global avec pour conséquences la fonte des glaciers et des glaces de mer et la montée du niveau des océans qui influent sur bon nombre de paramètres climatiques. Le dioxyde de carbone et le méthane sont les deux premiers gaz à effet de serre responsables de ce changement. La compréhension exhaustive des sources et de la répartition de ces gaz est donc indispensable pour affiner les modèles de prédictions de l’avenir du climat mondial. Les scientifiques ont besoin de mieux distinguer les émissions d'origine naturelle des émissions imputables à l’activité humaine. C’est ce que ferait pour la première fois CarbonSat avec une résolution inférieure à 2x2km et une précision inégalée.

LES SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES, QUEL AVENIR ?... - Page 3 Carbon11
Si l'Esa retient le projet de satellite CarbonSat, dont l'étude a été confiée à Astrium, les scientifiques auront
l'occasion de mieux quantifier les sources de CO2 et de méthane, humaines et géologiques.
© Astrium
Dans son programme d’observation de la Terre, l’Agence Spatiale Européenne distingue deux types de missions. Celles dites d’exploration de la Terre, qui sont des missions de recherche et de démonstration visant à faire avancer la compréhension des différents processus du système Terre et comprenant également la démonstration de nouvelles techniques d’observation. Et les missions de surveillance de la Terre qui sont des prototypes de missions opérationnelles répondant aux besoins du marché en matière d'applications opérationnelles.

* Esa
* Sciamachy (Scanning Imaging Absorption Spectrometer for Atmosphere Chartography)
* GCOS
* Astrium
* Observation de la Terre (Esa)

Par Rémy Decourt, Futura-Sciences, du 24 avril 2012
Source Actualité Futura-Sciences: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/carbonsat-un-satellite-pour-etudier-les-gaz-a-effet-de-serre_38258/
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